<p>Résumé</p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:105%"><span style="font-family:Calibri, "sans-serif""><span style="font-size:12.0pt"><span style="line-height:105%"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">L’irruption, ces dernières années, des systèmes d’intelligence artificielle dite générative dans le quotidien, impact indéniablement les pratiques des enseignants et des apprenants en sommant le système éducative lui-même à se réinventer. Si la plupart des mutations induites par l’apparition de l’IA générative reste observable dans les sociétés techniquement développées, il n’en demeure pas moins que l’Afrique soit, elle-aussi, à la croisée des chemins de ces nouvelles technologies. Considérée comme un continent en voie de développement (avec un seuil intolérable de pauvreté dans certaines régions), l’Afrique compte certes sur les appuis extérieurs mais surtout sur ses ressources endogènes notamment un système éducatif capable de lui fournir un capital humain qui pourra répondre aux défis de son développement. Dans cette perspective, les multiples possibilités qu’offre l’IA générative aux apprenants et aux enseignants en terme d’assistance à la créativité, de soutien didactique, d’accès à l’information etc., se révèlent être une véritable opportunité pour le secteur éducation-formation des pays africains. Mais comment relever les défis de cette transformation qualitative de l’éducation en Afrique au travers de l’IA ?</span></span></span></span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"> </p>