<p class="COSSI-corpsdetexte" style="text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span style="font-family:Arial, sans-serif"><span style="color:black">Ces analyses &laquo;&nbsp;&agrave; chaud&nbsp;&raquo; dans le monde culturel anglo-saxon et germanique des agences d&rsquo;architectures montrent &eacute;galement une pression des maitres d&rsquo;ouvrages quant &agrave; la capacit&eacute; de chacun qu&rsquo;offrent les IAG &agrave; r&eacute;diger un prompt pour exprimer une id&eacute;e par une image. Dans ce contexte se pose d&egrave;s aujourd&rsquo;hui l&rsquo;essentialisme du m&eacute;tier d&rsquo;architecte dans l&rsquo;acte de concevoir, jusqu&rsquo;alors unique maitre de son &oelig;uvre &agrave; travers son dessin comme transmission de son savoir constitutif de l&rsquo;expression de son &oelig;uvre jusqu&rsquo;&agrave; la r&eacute;alisation. De nouveaux questionnements sur les temporalit&eacute;s du projet et le r&ocirc;le des acteurs semblent donc se poser avec l&rsquo;arriv&eacute;e des IA g&eacute;n&eacute;ratives. </span></span></span></p>