<p class="textecourant" style="text-align:justify; text-indent:8.5pt"><span style="font-size:12pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="font-family:Helvetica"><span style="color:black">James Shotwell, professeur d&#39;histoire des relations internationales &agrave; l&#39;Universit&eacute; de Columbia devient &agrave; la veille de l&#39;entr&eacute;e en guerre des &Eacute;tats-Unis (1917) le directeur de la recherche &agrave; la Fondation Carnegie pour la Paix. Apr&egrave;s avoir fait partie de la d&eacute;l&eacute;gation &eacute;tats-unienne pr&eacute;sente &agrave; la Conf&eacute;rence de la Paix de Paris, il devient pour la Fondation Carnegie le responsable &eacute;ditorial d&#39;une tr&egrave;s importante s&eacute;rie de monographies consacr&eacute;es &agrave; l&#39;impact de la Premi&egrave;re Guerre mondiale sur la vie &eacute;conomique et sociale des nations touch&eacute;es par la guerre. C&#39;est dans cette prestigieuse collection que Shotwell avait projet&eacute; de publier ce qui allait devenir T&eacute;moins. Shotwell fut le principal soutien de Jean Norton Cru jusqu&#39;au rejet de T&eacute;moins par le comit&eacute; parisien de la Fondation. </span></span></span></span></p> <p><span style="font-size:12pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="font-family:Helvetica">Nous publions dans ce dossier deux lettres dans lesquelles Shotwell donne son appr&eacute;ciation du travail de Jean Norton Cru.</span></span></span></p>