<p><strong>VARIA</strong></p> <p><span style="font-size:12pt"><span style="font-family:Calibri, sans-serif"><span style="color:black"><span style="font-size:10.0pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">L&#39;efficacit&eacute; est un terme du langage courant qui semble aller de soi. Sans pr&eacute;ciser ce qu&#39;il en est de cette notion, le prax&eacute;ologue&nbsp;Kotarbinski a consacr&eacute; un c&eacute;l&egrave;bre ouvrage au travail efficace dont nous faisons ici la critique. Nous nous attardons sur sa confusion entre action humaine et travail du fait d&rsquo;une conception tr&egrave;s &eacute;l&eacute;mentaire des t&acirc;ches humaines. En contestant son approche tr&egrave;s analytique nous &eacute;tudions quelques cas de l&#39;industrie ou de la vie politique dont&nbsp;l&rsquo;ile de Nauru, pour souligner comment une certaine conception de l&#39;efficacit&eacute; &agrave; court terme ali&egrave;ne un&nbsp;dialogue sur les buts et les fins du travail ou de la politique, lui pr&eacute;f&eacute;rant cette instrumentalisation du travail humain. Cette critique de l&#39;efficacit&eacute; vise &agrave; en &eacute;largir la conception au profit de nouveaux horizons politiques. Et le rapport que l&rsquo;homme entretient &agrave; ses buts et au temps y serait pour quelque chose.</span></span></span></span></span></p>