<p style="border:none; text-align:justify"><strong>DOSSIER : POLITIQUE DE SANTE</strong><span style="font-size:12pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black"> </span></span></span></p>
<p style="border:none; text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black"> <span style="font-family:" times="">Pouvoir dire ces difficultés n’est-il pas en soi-même déjà une bonne chose ? Cela ne peut-il pas permettre que les malades, leurs proches comme les soignants comprennent <i>qu’ils ne sont pas seuls à être seuls </i>?<i> </i>Une belle expression de la langue française dit d’une lettre qui n’est pas arrivée à son destinataire qu’elle est une lettre « en souffrance ». Renversant l’expression, n’est-il pas permis de faire l’hypothèse qu’il n’est pas de pire souffrance que celle qui ne peut se dire, ou qui n’est pas entendue ?</span></span></span></span></p>