<p><strong>DOSSIER : LES POLITIQUES DE SANTE</strong></p>
<p style="text-align:justify; text-indent:36pt; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span style="font-family:Calibri, sans-serif"><i><span style="font-size:12.0pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">Utiliser des canaux médiatiques pour communiquer des stratégies, des changements, des résultats, des échecs, des erreurs, etc. peut avoir des effets positifs ou négatifs pour les consommateurs de messages, générer des tendances d’opinion favorables ou défavorables, mais, certes, il ne reste pas inaperçu (comme moyen d’envoyer, comme efficacité du message, en termes de l’implication du public-récepteur).</span></span></i></span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; text-indent:36pt; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span style="font-family:Calibri, sans-serif"><i><span style="font-size:12.0pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">Le caractère persuasif de la communication des sujets de la politique de santé est la logique des médias, à partir des exigences de la création des contenus et de poursuivre avec des éléments « externes » (le contexte politique, le niveau économique, l’orientation des médias, le professionnalisme des journalistes, la qualité et les enjeux des interlocuteurs présents dans différents formats de la presse écrite ou audiovisuelle, notamment, l’intérêt du public pour les questions médicales).</span></span></i></span></span></span></p>