<p class="texte" dir="ltr">L'esprit du n° 25 des <em>Cahiers de Psychologie Politique </em>propose des thématiques ouvertes. Bien que nous privilégions les dossiers  sur les questions de  psychologie politique, rien de plus utile que d’explorer d’autres perspectives et de nouvelles réflexions.</p><p class="texte" dir="ltr">Le résultat de ce numéro un peu hétéroclite nous semble intéressant et prometteur.</p><p class="texte" dir="ltr">Les membres des <em>Cahiers de Psychologie Politique</em> partagent, sûrement avec d’autres, la sensation que quelque chose est en train d’arriver : un changement d’ère et de modèles interprétatifs. </p><p class="texte" dir="ltr">Le bouleversement social et politique actuel suggère que la structure oscille entre retrouver l’imaginaire d’une révolution, ou la platitude d’un maintien du statu-quo. </p><p class="texte" dir="ltr">La question du « que faire » nous interpelle. </p><p class="texte" dir="ltr">Faut-il changer les axes idéologiques, les modes de vie, les méthodes ou les formes de raisonnement ? </p><p class="texte" dir="ltr">Quels sont les indices d’une perte de confiance dans l’avenir? </p><p class="texte" dir="ltr">Quels sont les indicateurs qui permettraient d’anticiper des nouvelles aspirations sociales ? </p><p class="texte" dir="ltr">Peut-on déceler les conséquences de la situation présente ? </p><p class="texte" dir="ltr">Quelle politique est-elle nécessaire ?</p><p class="texte" dir="ltr">Voilà des questions que marquent les nouvelles perspectives de notre revue pour les temps proches.</p><p class="texte" dir="ltr">Finalement, nous ne pouvons pas fermer cet édito sans évoquer la récente disparition de deux figures latino-américaines: Gabriel Garcia Marquez l’écrivain du réalisme magique et Ernesto Laclau, le politologue de l’hégémonie et de la raison populiste.</p>