<p><b>VARIA</b></p> <p>Les pythagoriciens croyaient que les nombres &eacute;taient le monde et que leur myst&egrave;re r&eacute;v&eacute;lait aux hommes quelques secrets d&rsquo;harmonies et quelques autres en mati&egrave;re d&rsquo;ordonnancement des choses par les r&egrave;gles de l&rsquo;esprit. Cette secte a travers&eacute; les si&egrave;cles comme nous l&rsquo;avons montr&eacute; dans un travail sur la g&eacute;n&eacute;alogie des nombres. Au premier temps de l&rsquo;histoire de la psychologie moderne, cette m&ecirc;me aspiration &agrave; la repr&eacute;sentation de la pens&eacute;e humaine dans des &eacute;quations qui en r&eacute;v&eacute;leraient les myst&egrave;res fut bien pr&eacute;sente chez l&rsquo;un des fondateurs de la psychologie, le philosophe Christian Wolff. Elle fut la base des travaux des psychologues modernes d&eacute;veloppant des instruments de mesure au service d&rsquo;intentions politiques eug&eacute;nistes.</p>