<p style="text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">La figure d’Enver Hoxha est peut-être l’une des plus controversée de l’histoire albanaise contemporaine nationale. Malgré de nombreux débats tant politiques, académiques qu’ordinaires autour de sa personne, le pouvoir d’Hoxha et l’expérience du Parti du Travail d’Albanie (PTA) n’ont pas encore été totalement « objectivés ». </span></span></span><span style="font-size:12pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">Or la pratique hoxhaïste, au-delà de diverses considérations idéologiques et/ou émotionnelles qui sans doute détiennent une – même si fortement subjective – légitimité, mérite une analyse juste, rigoureuse et scientifique du point de vue des paramètres de la science politique. </span></span></span><span style="font-size:12.0pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">La caractéristique principale du régime construit et promu par Hoxha résidait dans son mortier « national ». En effet, nombreux sont les chercheurs qui définissent l’action de Hoxha comme reflétant un « national-communisme » </span></span></span></p>