<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span style="font-family:Calibri, sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">Partir de la rh&eacute;torique classique et de son enseignement sur les vertus d&rsquo;&eacute;loquence de la m&eacute;taphore puis en examiner les ressorts psychologiques et sociaux entre le locuteur, l&rsquo;auditeur et le groupe. Faire l&rsquo;hypoth&egrave;se que la m&eacute;taphore insinue un champ s&eacute;mantique et cognitif &agrave; la fa&ccedil;on d&rsquo;un intrus qui op&egrave;re gr&acirc;ce &agrave; cette suggestion insidieuse jusqu&rsquo;&agrave; normaliser la pens&eacute;e par le champ cognitif dont est extrait la m&eacute;taphore qui devient le guide d&rsquo;une r&eacute;duction &eacute;pist&eacute;mologique d&rsquo;un champ de connaissance &agrave; un autre qui le subvertit en ali&eacute;nant ses sp&eacute;cificit&eacute;s.</span></span></span></span></span></p>