<p style="text-align: justify;"><strong>Résumé</strong> : Les données de la recherche scientifique sont actuellement soumises à un programme de standardisation technique (FAIR) dont l’objectif est d’en permettre la diffusion aux fins de réutilisation par le public (entreprises privées ou autre). Cette politique, qui sans se confondre avec elle, converge avec celle dite de « science ouverte », s’articule autour d’un principe normatif conflictuel, selon lequel le résultats de la recherche (et donc les données) doivent être « aussi ouverts que possibles et pas plus fermés que nécessaire », obligeant alors les chercheurs, ingénieurs et documentalistes, éventuellement chargés de la gestion des données de la recherche, à procéder à une qualification juridique délicate des données.</p>
<p><strong>Mots-clés :</strong> informatique, données, droit, principe d'ouverture, FAIR.</p>
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<p style="text-align: justify;"><strong>Abstract</strong> <strong>:</strong> Scientific research data is currently subject to a technical standardization program (FAIR), the objective of which is to allow its dissemination for re-use by the public (private companies or other). This policy, which, without being confused with it, converges with that known as “open science”, revolves around a conflicting normative principle, according to which the results of research (and therefore the data) must be “as open as possible and no more closed than necessary ”, thus forcing researchers, engineers and documentalists, possibly responsible for the management of research data, to carry out a delicate legal qualification of the data. </p>
<p data-placeholder="Traduction" dir="ltr"><strong>Keywords :</strong> computer science, data, law, opening principle, FAIR.</p>