<p style="text-indent:0px; -webkit-text-stroke-width:0px; text-align:justify; margin-top:3px"><span style="font-size:medium"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="caret-color:#000000"><span style="color:#000000"><span style="font-style:normal"><span style="font-variant-caps:normal"><span style="font-weight:normal"><span style="letter-spacing:normal"><span style="orphans:auto"><span style="text-transform:none"><span style="white-space:normal"><span style="widows:auto"><span style="word-spacing:0px"><span style="-webkit-text-size-adjust:auto"><span style="text-decoration:none"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">Valérie Lépine (chapitre 4 : <b>La communication et ses acteurs</b> :<b> les enjeux et finalités au-delà de la fonction et des métiers)</b> s’intéresse à l’approche que fait CLM de la fonction « communication » dans les organisations. Elle pointe la manière dont notre auteur articule une vision critique du rôle que prend la communication dans le développement de valeurs sociétales qui ne sont pas étrangères aux besoins managériaux, et une proximité avec le travail communicationnel des équipes au travail qu’il soutient. Elle montre comment la perspective d’analyse de l’institutionnalisation de la fonction « communication » renvoie chez CLM à une analyse de la « sphère professionnelle capitaliste » et aux tentatives de normalisation managériale. Cette visée normalisatrice touche aussi bien l’espace de la mise au travail et de son organisation que l’espace de l’administration et de son organisation structurelle, et, enfin, l’espace global des relations entre les entreprises et leurs différents environnements. La communication managériale, avec son étendard éthique, plus large que la communication institutionnelle, a les mêmes finalités. Estimant que CLM a plus envisagé la fonction et les pratiques de la communication professionnelle sous l’angle politique que sous l’angle sociologique, Valérie Lépine souligne les angles d’analyse qui ont été multipliés ces dix dernières années par les chercheurs en communication organisationnelle. </span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></p>
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<p style="text-indent:0px; -webkit-text-stroke-width:0px; text-align:justify; margin-top:3px"><span style="font-size:medium"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="caret-color:#000000"><span style="color:#000000"><span style="font-style:normal"><span style="font-variant-caps:normal"><span style="font-weight:normal"><span style="letter-spacing:normal"><span style="orphans:auto"><span style="text-transform:none"><span style="white-space:normal"><span style="widows:auto"><span style="word-spacing:0px"><span style="-webkit-text-size-adjust:auto"><span style="text-decoration:none"><b><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">Valérie L<span style="font-variant-ligatures:normal"><span style="font-variant-numeric:normal"><span style="font-variant-caps:small-caps"><span style="font-variant-alternates:normal"><span style="font-variant-position:normal"><span style="font-variant-east-asian:normal">épine</span></span></span></span></span></span> </span></span></b><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">est Professeure des universités en SIC à l’Université Paul Valéry et membre du LERASS-Ceric. Elle est co-animatrice scientifique du Groupe d’études et de recherche Org&Co de la SFSIC et co-fondatrice du Resiproc (Réseau international sur la professionnalisation des communicateurs). Ses travaux portent sur l’évolution des normes, pratiques et compétences professionnelles dans le champ de la communication organisationnelle.</span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></p>