<p style="text-indent:0px; -webkit-text-stroke-width:0px; text-align:justify; margin-top:3px"><span style="font-size:medium"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="caret-color:#000000"><span style="color:#000000"><span style="font-style:normal"><span style="font-variant-caps:normal"><span style="font-weight:normal"><span style="letter-spacing:normal"><span style="orphans:auto"><span style="text-transform:none"><span style="white-space:normal"><span style="widows:auto"><span style="word-spacing:0px"><span style="-webkit-text-size-adjust:auto"><span style="text-decoration:none"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">Michel Durampart (chapitre 5 : « <b>Dislocation-recomposition</b> » :<b> dynamiques organisationnelles face aux mouvements sociotechniques)</b> à son tour se focalise sur une thématique récurrente dans les textes de CLM : l’insistance sur les phénomènes de « dislocation des firmes » (à partir des années 1970) et dès lors aux « recompositions ». C’est l’occasion pour Michel Durampart de s’interroger sur la place que CLM donne aux objets techniques, notamment aux appareillages numériques actuels dans son analyse info-communicationnelle de l’évolution des formes organisationnelles ; il estime qu’il s’agit là de penser les formes actuelles de rationalisation du procès, de l’activité et du travail ; et donc d’analyser à la fois le rôle des dispositifs numériques et des acteurs sociaux qui mettent en œuvre, échangent pour élaborer collectivement les connaissances et les aptitudes qui font que « cela marche quand même ». Michel Durampart développe ici une analyse critique du positionnement de CLM qui privilégie, selon lui, une réflexion sur le rôle des dispositifs numériques comme accélérateurs des phénomènes de dislocation-recomposition des formes organisationnelles, délaissant les effets de rationalisation qui affectent les organisations de travail et les gens au travail, déstabilisant les savoirs acquis sur le travail et contraignant à de nouvelles capacités de flexibilité et de réflexivité. </span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></p>
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<p style="text-indent:0px; -webkit-text-stroke-width:0px; text-align:justify; margin-top:3px"><span style="font-size:medium"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="caret-color:#000000"><span style="color:#000000"><span style="font-style:normal"><span style="font-variant-caps:normal"><span style="font-weight:normal"><span style="letter-spacing:normal"><span style="orphans:auto"><span style="text-transform:none"><span style="white-space:normal"><span style="widows:auto"><span style="word-spacing:0px"><span style="-webkit-text-size-adjust:auto"><span style="text-decoration:none"><b><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">Michel D<span style="font-variant-ligatures:normal"><span style="font-variant-numeric:normal"><span style="font-variant-caps:small-caps"><span style="font-variant-alternates:normal"><span style="font-variant-position:normal"><span style="font-variant-east-asian:normal">urampart</span></span></span></span></span></span> </span></span></b><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">est Professeur première classe et membre du conseil de l’école doctorale SHS (ED 509) de l’Université de Toulon et du collège des écoles doctorales. Il est Directeur du laboratoire IMSIC UTLN-AMU (Université de Toulon et d’Aix-Marseille) depuis 2017. Il mène des recherches au niveau national et international (Maghreb, Proche Orient, Amérique du Sud) sur les relations et complémentarités entre savoirs et sociétés liés aux dispositifs numériques et à la communication digitale et sur l’évolution des apprentissages et des enjeux cognitifs en relation avec les dispositifs et outils numériques (acculturation numérique, forme scolaire, enjeux sociotechniques).</span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></p>