<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:12pt"><span style="line-height:107%"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="font-size:12.0pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">Dans cet article, l&rsquo;auteur cherche&nbsp;&agrave; savoir si le&nbsp;rire peut faire de la r&eacute;sistance, et contre quoi il r&eacute;siste. En utilisant les donn&eacute;es d&#39;un&nbsp;corpus d&rsquo;enqu&ecirc;tes dialectologiques sur les p&ecirc;cheurs m&eacute;diterran&eacute;ens occitanophones, elle d&eacute;finit deux situations dans lesquelles appara&icirc;t une forme&nbsp;d&rsquo;humour que l&rsquo;on peut qualifier de r&eacute;sistant&nbsp;: celui utilis&eacute; par le p&ecirc;cheur face au chercheur, et celui pr&eacute;sent dans la litt&eacute;rature orale traditionnelle partag&eacute; par ce groupe socio-professionnel.</span></span></span></span></span></p> <p style="text-align:justify; margin-bottom:11px">&nbsp;</p> <p style="text-align:justify; margin-bottom:11px">&nbsp;</p>