<p>Résumé : Proposition</p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"><b> </b> Cette contribution voudrait poser l’hypothèse que la hauteur de surplomb théorique conditionne les résultats et leur transposition dans des pratiques notamment d‘enseignement. La métaphore de la vue d’un étage au-dessus d’un carrefour peut servir d’analogie. Si le regard descend du 7éme étage ou, au contraire du premier étage, l’objet observé est le même : un carrefour, mais la vision : taille des véhicules, impression des détails, en est différente. Entre la vue du ciel et celle de l’arpenteur la perception est modifiée par la hauteur de vue et son choix dépendra de l’usage distinct que l’on veut en faire, organisation des feux de circulation ou aide à la conduite de tel type de véhicule. Par conséquent, s'interroger sur le choix du surplomb pour traiter une problématique est à inclure dans l'effort de théorisation d’un objet complexe : les langues, nécessitant un traitement par définition interdisciplinaire.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Ce questionnement est né d’un bilan des avancées théoriques actuelles cherchant à penser l’unité d’une langue bien qu’elle soit à la fois parlée et écrite avec les différences formelles qui s’en suivent. Depuis la tradition structurale, les approches théoriques de la dichotomie oral-écrit ont plutôt mené à différencier une langue écrite comme système indépendant de l’oral. La question est développée dans l’espace francophone en 1980 par Catach-Anis dans l’optique d’une linguistique de l’écrit (Pour une présentation plus détaillée cf Mahrer, 2019). De son coté, la psychologie du langage, autour de Fayol (1979), s'est spécialisée sur les productions écrites quand, au même moment, une linguistique de l’oral a émergé autour de Blanche-Benveniste et Jeanjean (1987). Récemment, la séparation des linguistiques de l’oral et de l’écrit a été réinterrogée dans un numéro thématique (<i>Linguistique de l’écrit, </i>n°3<i>,</i> 2022) « Oral/écrit : quelle place dans les modèles linguistiques ? », ouvrant ainsi un espace de dialogue entre ces deux théories linguistiques. </span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> La revue propose ainsi un espace de débat dans l’esprit d’une mutualisation-confrontation des résultats des deux domaines : linguistique de l’oral et linguistique de l’écrit. Reconnaissant ce que Catach (1988) souligne d’une transformation des compétences cognitives et locutoires à l’échelle individuelle quand celui-ci acquiert les compétences scripturales, les auteurs de l’article « L’oral et l’écrit : si proches, si loins » proposent de prendre en considération « la consistance matérielle du langage » : sons ou lettres. Pouvant s’apparenter à deux formes matérielles distinctes voire contraires, l’oral et l’écrit sont traités dans l’esprit d’une sémiologie comparée, qui prend en compte les propriétés matérielles des signes dans un « domaine phonique ou graphique » (Doquet, Lefebvre, Mahrer, Testenoire, 17, 2022) Qu’apporterait cette approche sémiologique comparée (une vue du 7eme étage) du couple oral-écrit, au contexte de l’acquisition de la scripturalité ? Ce surplomb éclaire-t-il efficacement la problématique de l'acquisition ? </span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Pour répondre à cette question, l’article proposée, après avoir rappelé à grand traits les modèles linguistes existants dont le dernier : l'opposition maatérielle phonique-graphique par une approche sémiologique comparée de l’oral et de l’écrit, présentera une approche plus pragmatique de l’articulation oral-écrit. Sans vouloir mettre ces approches en concurrence, il s’agira dans un second temps de présenter cette approche phénoménologique, se mettant à la hauteur de celui qui acquiert, à l’échelle individuelle, pour montrer en quoi elle favorise davantage l’acquisition scripturale des élèves pour lutter, ainsi, contre toute forme d’illettrisme.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Le questionnement sur l’effet de la hauteur de surplomb, c’est-à-dire le choix d’une approche systémique (7eme étage pour reprendre la métaphore) ou d’une approche phénoménologique (premier étage), exemplifiée dans le contexte de l‘articulation oral-écrit pour sa fonction cognitive dans l’acquisition de la scripturalité (Morinet, 2016, 2017, 2019), amène à interroger la conception de la langue sous-jacente au choix du cadre théorique.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"><b> </b> Cette contribution voudrait poser l’hypothèse que la hauteur de surplomb théorique conditionne les résultats et leur transposition dans des pratiques notamment d‘enseignement. La métaphore de la vue d’un étage au-dessus d’un carrefour peut servir d’analogie. Si le regard descend du 7éme étage ou, au contraire du premier étage, l’objet observé est le même : un carrefour, mais la vision : taille des véhicules, impression des détails, en est différente. Entre la vue du ciel et celle de l’arpenteur la perception est modifiée par la hauteur de vue et son choix dépendra de l’usage distinct que l’on veut en faire, organisation des feux de circulation ou aide à la conduite de tel type de véhicule. Par conséquent, interroger le surplomb choisi pour traiter une problématique est à inclure dans tout effort de théorisation d’un objet complexe : les langues, nécessitant un traitement par définition interdisciplinaire.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Ce questionnement est né d’un bilan fait des avancées théoriques actuelles cherchant à penser l’unité d’une langue bien qu’elle soit à la fois parlée et écrite avec les différences formelles qui s’en suivent. Depuis la tradition structurale, les approches théoriques de la dichotomie oral-écrit ont plutôt mené à différencier une langue écrite comme système indépendant de l’oral. La question est développée dans l’espace francophone en 1980 par Catach-Anis dans l’optique d’une linguistique de l’écrit (Pour une présentation plus détaillée cf Mahrer, 2019). La psychologie du langage, autour de Fayol (1979), se concentre sur la production écrite quand, au même moment, une linguistique de l’oral émerge autour de Blanche-Benveniste et Jeanjean (1987). Récemment, cette apparence théorique d’une séparabilité des linguistiques de l’oral et de l’écrit a été réinterrogée dans un numéro thématique (<i>Linguistique de l’écrit, </i>n°3<i>,</i> 2022) « Oral/écrit : quelle place dans les modèles linguistiques ? », ouvrant ainsi un espace de dialogue entre ces deux théories linguistiques. </span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> La revue propose ainsi un espace de débat dans l’esprit d’une mutualisation-confrontation des résultats des deux domaines : linguistique de l’oral et linguistique de l’écrit. Reconnaissant ce que Catach (1988) souligne d’une transformation des compétences cognitives et locutoires à l’échelle individuelle quand celui-ci acquiert les compétences scripturales, les auteurs de l’article « L’oral et l’écrit : si proches, si loins » proposent de prendre en considération « la consistance matérielle du langage » : sons ou lettres. Pouvant s’apparenter à deux formes matérielles distinctes voire contraires, l’oral et l’écrit sont traités dans l’esprit d’une sémiologie comparée, qui prend en compte les propriétés matérielles des signes dans un « domaine phonique ou graphique » (Doquet, Lefebvre, Mahrer, Testenoire, 17, 2022) Qu’apporterait cette approche sémiologique comparée (une vue du 7eme étage) du couple oral-écrit, au contexte de l’acquisition de la scripturalité ? Ce surplomb éclaire-t-il efficacement cette problématique ? </span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Pour répondre à ces questions, l’article proposée, après avoir rappelé à grand traits les modèles linguistes existants dont le dernier : une approche sémiologique comparée de l’oral et de l’écrit dans leur opposition matérielle phonique-graphique, présentera une approche plus pragmatique de l’articulation oral-écrit. Sans vouloir mettre ces approches en concurrence, il s’agira dans un second temps d’étudier cette approche plus phénoménologique, se mettant à la hauteur de celui qui acquiert à l’échelle individuelle, pour montrer en quoi elle favoriserait davantage l’acquisition scripturale des élèves et lutter, ainsi, contre toutes formes d’illettrisme.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Le questionnement sur l’effet de la hauteur de surplomb, c’est-à-dire le choix d’une approche systémique (7eme étage pour reprendre la métaphore) ou d’une approche phénoménologique (premier étage), exemplifiée dans le contexte de l‘articulation oral-écrit pour sa fonction cognitive dans l’acquisition de la scripturalité (Morinet, 2016, 2017, 2019), amène à interroger la conception de la langue sous-jacente au choix du cadre théorique.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"><b> </b> Cette contribution voudrait poser l’hypothèse que la hauteur de surplomb théorique conditionne les résultats et leur transposition dans des pratiques notamment d‘enseignement. La métaphore de la vue d’un étage au-dessus d’un carrefour peut servir d’analogie. Si le regard descend du 7éme étage ou, au contraire du premier étage, l’objet observé est le même : un carrefour, mais la vision : taille des véhicules, impression des détails, en est différente. Entre la vue du ciel et celle de l’arpenteur la perception est modifiée par la hauteur de vue et son choix dépendra de l’usage distinct que l’on veut en faire, organisation des feux de circulation ou aide à la conduite de tel type de véhicule. Par conséquent, interroger le surplomb choisi pour traiter une problématique est à inclure dans tout effort de théorisation d’un objet complexe : les langues, nécessitant un traitement par définition interdisciplinaire.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Ce questionnement est né d’un bilan fait des avancées théoriques actuelles cherchant à penser l’unité d’une langue bien qu’elle soit à la fois parlée et écrite avec les différences formelles qui s’en suivent. Depuis la tradition structurale, les approches théoriques de la dichotomie oral-écrit ont plutôt mené à différencier une langue écrite comme système indépendant de l’oral. La question est développée dans l’espace francophone en 1980 par Catach-Anis dans l’optique d’une linguistique de l’écrit (Pour une présentation plus détaillée cf Mahrer, 2019). La psychologie du langage, autour de Fayol (1979), se concentre sur la production écrite quand, au même moment, une linguistique de l’oral émerge autour de Blanche-Benveniste et Jeanjean (1987). Récemment, cette apparence théorique d’une séparabilité des linguistiques de l’oral et de l’écrit a été réinterrogée dans un numéro thématique (<i>Linguistique de l’écrit, </i>n°3<i>,</i> 2022) « Oral/écrit : quelle place dans les modèles linguistiques ? », ouvrant ainsi un espace de dialogue entre ces deux théories linguistiques. </span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> La revue propose ainsi un espace de débat dans l’esprit d’une mutualisation-confrontation des résultats des deux domaines : linguistique de l’oral et linguistique de l’écrit. Reconnaissant ce que Catach (1988) souligne d’une transformation des compétences cognitives et locutoires à l’échelle individuelle quand celui-ci acquiert les compétences scripturales, les auteurs de l’article « L’oral et l’écrit : si proches, si loins » proposent de prendre en considération « la consistance matérielle du langage » : sons ou lettres. Pouvant s’apparenter à deux formes matérielles distinctes voire contraires, l’oral et l’écrit sont traités dans l’esprit d’une sémiologie comparée, qui prend en compte les propriétés matérielles des signes dans un « domaine phonique ou graphique » (Doquet, Lefebvre, Mahrer, Testenoire, 17, 2022) Qu’apporterait cette approche sémiologique comparée (une vue du 7eme étage) du couple oral-écrit, au contexte de l’acquisition de la scripturalité ? Ce surplomb éclaire-t-il efficacement cette problématique ? </span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Pour répondre à ces questions, l’article proposée, après avoir rappelé à grand traits les modèles linguistes existants dont le dernier : une approche sémiologique comparée de l’oral et de l’écrit dans leur opposition matérielle phonique-graphique, présentera une approche plus pragmatique de l’articulation oral-écrit. Sans vouloir mettre ces approches en concurrence, il s’agira dans un second temps d’étudier cette approche plus phénoménologique, se mettant à la hauteur de celui qui acquiert à l’échelle individuelle, pour montrer en quoi elle favoriserait davantage l’acquisition scripturale des élèves et lutter, ainsi, contre toutes formes d’illettrisme.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Le questionnement sur l’effet de la hauteur de surplomb, c’est-à-dire le choix d’une approche systémique (7eme étage pour reprendre la métaphore) ou d’une approche phénoménologique (premier étage), exemplifiée dans le contexte de l‘articulation oral-écrit pour sa fonction cognitive dans l’acquisition de la scripturalité (Morinet, 2016, 2017, 2019), amène à interroger la conception de la langue sous-jacente au choix du cadre théorique.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"><b> </b> Cette contribution voudrait poser l’hypothèse que la hauteur de surplomb théorique conditionne les résultats et leur transposition dans des pratiques notamment d‘enseignement. La métaphore de la vue d’un étage au-dessus d’un carrefour peut servir d’analogie. Si le regard descend du 7éme étage ou, au contraire du premier étage, l’objet observé est le même : un carrefour, mais la vision : taille des véhicules, impression des détails, en est différente. Entre la vue du ciel et celle de l’arpenteur la perception est modifiée par la hauteur de vue et son choix dépendra de l’usage distinct que l’on veut en faire, organisation des feux de circulation ou aide à la conduite de tel type de véhicule. Par conséquent, interroger le surplomb choisi pour traiter une problématique est à inclure dans tout effort de théorisation d’un objet complexe : les langues, nécessitant un traitement par définition interdisciplinaire.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Ce questionnement est né d’un bilan fait des avancées théoriques actuelles cherchant à penser l’unité d’une langue bien qu’elle soit à la fois parlée et écrite avec les différences formelles qui s’en suivent. Depuis la tradition structurale, les approches théoriques de la dichotomie oral-écrit ont plutôt mené à différencier une langue écrite comme système indépendant de l’oral. La question est développée dans l’espace francophone en 1980 par Catach-Anis dans l’optique d’une linguistique de l’écrit (Pour une présentation plus détaillée cf Mahrer, 2019). La psychologie du langage, autour de Fayol (1979), se concentre sur la production écrite quand, au même moment, une linguistique de l’oral émerge autour de Blanche-Benveniste et Jeanjean (1987). Récemment, cette apparence théorique d’une séparabilité des linguistiques de l’oral et de l’écrit a été réinterrogée dans un numéro thématique (<i>Linguistique de l’écrit, </i>n°3<i>,</i> 2022) « Oral/écrit : quelle place dans les modèles linguistiques ? », ouvrant ainsi un espace de dialogue entre ces deux théories linguistiques. </span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> La revue propose ainsi un espace de débat dans l’esprit d’une mutualisation-confrontation des résultats des deux domaines : linguistique de l’oral et linguistique de l’écrit. Reconnaissant ce que Catach (1988) souligne d’une transformation des compétences cognitives et locutoires à l’échelle individuelle quand celui-ci acquiert les compétences scripturales, les auteurs de l’article « L’oral et l’écrit : si proches, si loins » proposent de prendre en considération « la consistance matérielle du langage » : sons ou lettres. Pouvant s’apparenter à deux formes matérielles distinctes voire contraires, l’oral et l’écrit sont traités dans l’esprit d’une sémiologie comparée, qui prend en compte les propriétés matérielles des signes dans un « domaine phonique ou graphique » (Doquet, Lefebvre, Mahrer, Testenoire, 17, 2022) Qu’apporterait cette approche sémiologique comparée (une vue du 7eme étage) du couple oral-écrit, au contexte de l’acquisition de la scripturalité ? Ce surplomb éclaire-t-il efficacement cette problématique ? </span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Pour répondre à ces questions, l’article proposée, après avoir rappelé à grand traits les modèles linguistes existants dont le dernier : une approche sémiologique comparée de l’oral et de l’écrit dans leur opposition matérielle phonique-graphique, présentera une approche plus pragmatique de l’articulation oral-écrit. Sans vouloir mettre ces approches en concurrence, il s’agira dans un second temps d’étudier cette approche plus phénoménologique, se mettant à la hauteur de celui qui acquiert à l’échelle individuelle, pour montrer en quoi elle favoriserait davantage l’acquisition scripturale des élèves et lutter, ainsi, contre toutes formes d’illettrisme.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span calibri="" style="font-family:"> Le questionnement sur l’effet de la hauteur de surplomb, c’est-à-dire le choix d’une approche systémique (7eme étage pour reprendre la métaphore) ou d’une approche phénoménologique (premier étage), exemplifiée dans le contexte de l‘articulation oral-écrit pour sa fonction cognitive dans l’acquisition de la scripturalité (Morinet, 2016, 2017, 2019), amène à interroger la conception de la langue sous-jacente au choix du cadre théorique.</span></span></span></p>
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