<p>On a beaucoup parl&eacute; de l&rsquo;humour de Billetdoux, humour &agrave; la fois tendre et cruel qui na&icirc;t de l&rsquo;observation attentive, m&ecirc;me lorsqu&rsquo;elle para&icirc;t totalement irr&eacute;aliste, de la souffrance humaine. En revanche rarement a &eacute;t&eacute; attir&eacute;e l&rsquo;attention sur la dimension m&eacute;taphysique de son &oelig;uvre qui se cache derri&egrave;re cet humour, sur la pr&eacute;sence permanente de la mort, ce qui est l&rsquo;objet de cet article, &agrave; partir de trois exemples,&nbsp;<em>Va donc chez T&ouml;rpe</em>,&nbsp;<em>Ne m&rsquo;attendez pas ce soir</em>&nbsp;et&nbsp;<em>Comment va le monde, M&ocirc;ssieu ? Il tourne, M&ocirc;ssieu !&nbsp;</em></p>