<p>En plein cœur d’août 2018, j’ai retrouvé Andrew Orr, à Paris. Gravement malade, il savait qu’il ne lui serait pas possible de participer au colloque sur les écrivains et la radio de création, prévu en octobre. Mais il tenait à témoigner, encore une fois, du précieux creuset qu’avait constitué pour lui l’<em>Atelier de création radiophonique</em>, depuis l’aventure initiatique d’<em>Irish Stew</em>, son premier documentaire réalisé en 1972.</p>