<p>Résumé</p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La pratique d’écriture créative a conquis une place importante dans l’enseignement des langues étrangères. Cette contribution <span style="background-color:white"><span style="color:black">sera le récit réflexif de pratiques d’ateliers d’écriture avec des étudiants spécialisés en FLE. Elle </span></span>fait appel à la didactique de la littérature et de la didactique de l’écrit pour vérifier l’apport de la pratique des ateliers d’écriture littéraire au développement des compétences linguistiques et interculturelles. Elle vise à observer comment des étudiants universitaires inscrits en 2<sup>ème</sup> année licence manifestent leur créativité littéraire. Il ressort de l’analyse de notre corpus que des connaissances linguistiques limitées ne sont pas forcément un obstacle à la créativité, et que la lecture des textes littéraires et l’écriture créative permettent au scripteur d’améliorer leurs compétences scripturales et interculturelles dont l’enjeu est l’expression de soi, de sa vision du monde, de l’évolution de son rapport à l’écriture.</span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Nombreux sont les didacticiens et praticiens qui ont insisté sur le lien entre la lecture/écriture. Concernant le FLE, Peytard et Moirand soulignent qu’« il serait vain d’essayer de faire produire des textes avant d’en avoir donné à lire de semblables dans la langue qu’on apprend, parce que l’exercice implique une appropriation préalable des modèles textuels étrangers » (Peytard et Moirand, 1992, p.51). Par ailleurs, l’école conçoit les relations lecture-écriture sur le mode de l’évidence : lire permet à écrire à écrire. Toutefois, ces relations ne sont pas véritablement construites et ne sont pas réellement stimulées. L’acte de lecture était vu comme celui qui fournissait au scripteur l’ensemble des connaissances encyclopédiques et lexicales nécessaires à la performance scripturale. C’est à ce titre qu’on préconisait des procédés tels qu’initier et habituer les élèves à la prise de notes à partir d’un texte lu ou d’un enregistrement ou à l’écriture créative en atelier où il souvent question de lire, puis d’écrire des textes. Dans cette perspective, on préparait les apprenants à la rédaction en leur fournissant des documents constituants une aide à la construction des idées relatives au contenu du texte à produire. </span></span></span></span></p>
<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-si