<h4 style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">Résumé</span></span></h4>
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<p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span style="font-family:"Times New Roman","serif"">La situation déplorable de l’expression écrite suscite bien d’interrogations quant aux méthodes d’enseignement et aux supports pédagogiques utilisés à cet effet. A ce propos, la présente étude s’est effectuée autour de la question suivante : «en raison des vertus pédagogiques de la Bd, son introduction dans l’enseignement/apprentissage des techniques du récit ne permet-elle pas d’améliorer les prestations écrites des élèves ? Partant de cette préoccupation de base, des enquêtes ont été effectuées auprès des enseignants, des élèves, des encadreurs. L’analyse des données montre que la BD est quasi inexistante dans les pratiques enseignantes des professeurs de français et que quelques-uns qui l'exploitent le font en amateurs, avec des méthodologies pas toujours adaptées; mais ce qu’il convient surtout de noter, cette exploitation timorée et inefficace n’est pas le fruit d’une mauvaise volonté des enseignants, ils en sont les premiers désolés car eux-mêmes reconnaissent les avantages de la Bd. Ce travail consiste à montrer qu’une exploitation utile et subtile de la bande dessinée permettra d’améliorer considérablement l’enseignement/apprentissage du français dans notre pays.</span></span></p>