<h2 style="text-align: justify;">Résumé</h2>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">Cet article constitue à la fois le point d’entrée et de sortie d’un ensemble d’articles (constitué de celui-ci, puis de ceux de M. Debono, I. Pierozak et V. Castellotti). Ces articles lus conjointement visent à mettre en évidence et à interroger différents positionnements actuellement prévalents en didactologie-didactique des langues (DDdL) et à proposer une interprétation des relations (d’opposition ? de complémentarité ? de prolongement ? d’indifférence ? etc.) entre ces orientations, sous l’angle de leurs soubassements épistémologiques plus particulièrement.<br />
Le présent texte se propose d'illustrer cette visée à partir des critiques du CECRL, afin de tenter de comprendre ce qui semble faire consensus entre celles-ci (ou non), et ce dont procèdent les arguments convoqués. Il s’agira notamment de mettre en évidence le fait que certains accords dans la critique ne portent manifestement que sur les désaccords et relèvent simultanément de profonds différends en termes de positionnement « de fond ». Ceci me permettra, dans un dernier temps, d’ouvrir un chemin vers une critique « à cœur » de la rationalité managériale, chemin qui sera parcouru dans les autres contributions.</span></span></p>
<p style="text-align:justify">Emmanuelle HUVER<br />
EA 4428 Dynadiv<br />
Université de Tours</p>