<p>R&eacute;cemment, Zoltan Istvan a fait scandale en &eacute;voquant le contr&ocirc;le des naissances. Dans la perspective d&rsquo;une conqu&ecirc;te de la mort, il s&rsquo;interroge : &laquo;&nbsp;Devra-t-on encore permettre &agrave; n&rsquo;importe qui d&rsquo;avoir autant d&rsquo;enfants qu&rsquo;il souhaite&nbsp;?&nbsp;&raquo;. Il imagine un permis, accord&eacute; suite &agrave; une s&eacute;rie de tests, qui permettrait l&rsquo;acc&egrave;s &agrave; la procr&eacute;ation et la possibilit&eacute; d&rsquo;&eacute;lever des enfants. En seraient exclus les sans domicile fixe, les criminels et les drogu&eacute;s. Mobilisant, tour &agrave; tour, l&rsquo;argument humanitaire &ndash; donner une meilleure vie aux enfants &ndash;, environnemental, d&eacute;mographique, f&eacute;ministe &ndash; les enfants qui nuisent &agrave; la carri&egrave;re professionnelle &ndash;, il conclut qu&rsquo;il ne s&rsquo;agit pas de restreindre la libert&eacute; mais de maximiser les ressources pour les enfants pr&eacute;sents et &agrave; venir.</p>