<p style="text-align: left;"><span style="font-size:12pt"><span style="line-height:115%"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="background:white"><span style="line-height:115%"><span arial="" style="font-family:">L&rsquo;Occident, ses &eacute;lites et sa d&eacute;mocratie sont en crise depuis longtemps. Dans ce cadre, les rapports entre civilisation et &eacute;tranger, citoyen et non-citoyen, spectateur et &oelig;uvre sont renvers&eacute;s par rapport au temps qui fut. &Agrave; bien des &eacute;gards, les principes qui animent les cybercultures dans ce qu&rsquo;elles ont de plus souterrain, sombre et subversif agissent dans les interstices o&ugrave; la civilisation n&rsquo;a plus de marge de man&oelig;uvre, l&agrave; o&ugrave; elle a &eacute;puis&eacute; sa force en montrant son point de saturation.</span></span></span></span></span></span></p>