<p class="MsoNoSpacing" style="margin-top: 8px; margin-bottom: 8px; text-align: left;"><span style="font-size:12pt"><span style="background:white"><span style="font-family:Arial, sans-serif">&laquo;Ne parlez pas de &quot;r&eacute;pression&quot; ou de &quot;violences polici&egrave;res&quot;, ces mots sont inacceptables dans un &Eacute;tat de droit. [...] Vous me parlez de r&eacute;pression, je vous dis que c&#39;est faux&raquo;, Emmanuel Macron, le 07 mars 2019, Gr&eacute;oux-les-Bains.&nbsp;</span></span></span></p> <p class="MsoNoSpacing" style="margin-top: 8px; margin-bottom: 8px; text-align: left;"><span style="font-size:12pt"><span style="background:white"><span style="font-family:Arial, sans-serif">Cette formule provocatrice d&#39;E. Macron, interpelle. Si elle se doit d&#39;&ecirc;tre replac&eacute;e dans le contexte o&ugrave; elle est prononc&eacute;e - presque quatre mois apr&egrave;s le d&eacute;but du mouvement social des Gilets Jaunes - elle questionne notamment sur les choix en mati&egrave;re de communication ainsi que le rapport entre la v&eacute;rit&eacute; et le pouvoir en place en p&eacute;riode de mouvement social. En effet, &agrave; la date o&ugrave; elle est prononc&eacute;e, 483 cas de violences polici&egrave;res sont recens&eacute;s, dont 202 blessures &agrave; la t&ecirc;te, 21 personnes &eacute;nucl&eacute;es, 5 mains arrach&eacute;es et un homicide.</span></span></span></p>