<h1>PROL&Eacute;GOM&Egrave;NES</h1> <p>Outre une critique g&eacute;n&eacute;rale du &laquo; management &raquo; (Rappin, 2016) des hommes et des femmes dans les entreprises et les organisations de tous types (par exemple, Aubert, de Gaulejac, 1991 ; de Gaulejac, 2012 ; Dupuy, 2011, 2015 ; Le Texier, 2016 ; Morel, 2002), l&rsquo;on connait nombre de vives attaques formul&eacute;es aujourd&rsquo;hui &agrave; l&rsquo;encontre des &laquo; formations de d&eacute;veloppement professionnel et personnel &raquo; (par exemple, Gysler, 2015) associ&eacute;es audit management (soit, au sens le plus g&eacute;n&eacute;ral du terme, cette &laquo; gestion des individus en milieu de travail &raquo;). Formations qui utilisent tr&egrave;s fr&eacute;quemment, sinon constamment, des techniques et m&eacute;thodes en liens directs avec la (ou dites de) &laquo; communication &raquo; &ndash; puisque &laquo; la communication &raquo; (Benoit, 2013) para&icirc;t bien se trouver &agrave; ce jour (et depuis de nombreuses ann&eacute;es) au centre m&ecirc;me des r&eacute;flexions men&eacute;es (notamment) en mati&egrave;re de gestion et de management (Bartoli, 1990 ; Le Mo&euml;nne, 1994). Disons que, d&rsquo;une fa&ccedil;on g&eacute;n&eacute;rale, ces critiques et attaques tancent un d&eacute;ficit de scientificit&eacute; (Lardellier, 2010, 2017) et, par suite, d&rsquo;efficacit&eacute; de ces formations puisque &ndash; le point de vue est ici quasi unanimement partag&eacute; quel que soit le domaine de r&eacute;f&eacute;rence &ndash; c&rsquo;est l&rsquo;application d&rsquo;une v&eacute;ritable approche scientifique convenablement men&eacute;e qui, seule, peut garantir l&rsquo;obtention des r&eacute;sultats (m&eacute;lioratifs) vis&eacute;s.&nbsp;</p>