<p style="text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span style="font-family:&quot;Times New Roman&quot;, serif"><span style="font-size:14.0pt">Contrairement &agrave; Frantz Fanon, qui de ses premiers textes jusqu&rsquo;&agrave; son essai dernier essai, <i>Les Damn&eacute;s de la terre</i>, publi&eacute; en 1961, accorde toujours une place importante &agrave; l&rsquo;universalisme, Houria Bouteldja, dans <i>Les Blancs, les Juifs et nous</i> (2016), manifeste un refus total des Lumi&egrave;res fran&ccedil;aises et condamne de fa&ccedil;on virulente tout lien entre Orient et Occident. </span></span></span></p> <p style="text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span style="font-family:&quot;Times New Roman&quot;, serif"><span style="font-size:14.0pt">L&rsquo;article de Pascale Pellerin interroge cette &eacute;volution du discours sur l&rsquo;universalisme dont les enjeux politiques sont essentiels.</span></span></span></p>