<r2r:ml lang="fr"><p class="resume" dir="ltr"><strong>L’Afrique subsaharienne avec honnêteté</strong> <strong>?</strong><br />En 2010, alors que de nombreux pays d’Afrique subsaharienne fêtent leur demi-siècle d’indépendance, la plupart d’entre eux ne sont pas encore autonomes et dépendent de l’aide internationale pour assurer le soutien leurs concitoyens.<br />Ce constat est surprenant, ce d’autant plus que d’autres régions du monde, au niveau de développement similaire cinquante ans plus tôt, connaissent des situations socioéconomiques nettement plus favorables. <br />Prenant appui sur les observations formulées par l’économiste zambienne Moyo, le PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement), le CEGPD (Centre Européen de Gestion des Politiques de Développement), l’OCDE mais aussi le sociologue togolais Amouzou, l’auteur relève de nombreuses entraves au développement. Sans chercher à les minimiser, elle propose cependant de cibler ce qui, selon elle, constitue le problème majeur de ces pays : un manque de leadership. </p></r2r:ml><r2r:ml lang="en"><p class="abstract" dir="ltr"><strong>Let’s be honest about Sub-Saharan Africa</strong><br />In 2010, while many Sub-Saharan African countries celebrate 50 years of independence, most of them are still not independent and rely on international assistance to cover the needs of their citizens when other countries of the world, with similar development situation 50 years ago, meet much more comfortable socioeconomic conditions. <br />Considering observations made by the Zambian economist Moyo, the UNDP (United Nations Development Program), the ECDPM (European Centre for Development Policy Management), the OECD but also the Togolese sociologist Amouzou, the author notes numerous hindrances to Africa’s development. Without minimising them, she proposes to point out the major problem of these countries: the lack of leadership.</p></r2r:ml>