<p style="text-align:justify; margin-bottom:11px"><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span style="font-family:Calibri, sans-serif"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">Les deux derni&egrave;res ann&eacute;es ont montr&eacute; que la communaut&eacute; m&eacute;dicale pesait d&rsquo;un poids consid&eacute;rable sur la destin&eacute;e des peuples et les d&eacute;cisions politiques des institutions internationales et des Etats. Cette pr&eacute;&eacute;minence de la m&eacute;decine s&rsquo;&eacute;valuera &agrave; t&ecirc;te repos&eacute;e, quand toutes les donn&eacute;es seront valid&eacute;es, quand les acteurs pourront t&eacute;moigner de leurs exp&eacute;riences et les institutions appr&eacute;cieront leurs d&eacute;cisions &agrave; l&rsquo;aune de tous leurs r&eacute;sultats.&nbsp;</span></span></span></span><span style="font-size:11pt"><span style="line-height:107%"><span style="font-family:Calibri, sans-serif"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">Mais cette p&eacute;riode m&rsquo;a convaincu de partager la lecture du dernier chapitre d&rsquo;un livre tr&egrave;s c&eacute;l&egrave;bre ainsi que son auteur. Alexis Carrel (1873-1944) fut prix Nobel de m&eacute;decine en 1912&nbsp; Son ouvrage&nbsp;: <i>L&rsquo;homme, cet inconnu</i>&nbsp;remporta un succ&egrave;s consid&eacute;rable d&egrave;s sa parution en 1935, publi&eacute; en de nombreuses langues jusque dans les ann&eacute;es cinquante. Il y fait d&eacute;j&agrave; l&#39;apologie du pouvoir mondial sanitaire.</span></span></span></span></p>