<p style="text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span style="line-height:150%"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span lang="FR-CA" style="font-size:11.0pt"><span style="line-height:150%"><span condensed="" light="" style="font-family:" univers="">La vuln&eacute;rabilit&eacute; est une question au c&oelig;ur de notre humanit&eacute;, qu&rsquo;elle soit physique ou psychologique. A l&rsquo;&egrave;re du num&eacute;rique et des technologies avanc&eacute;es, il semble que les outils propos&eacute;s visent souvent &agrave; palier des vuln&eacute;rabilit&eacute;s&nbsp;&ndash; des handicaps, par exemple. Plus r&eacute;cemment, des publics que l&rsquo;on peut empiriquement qualifier de vuln&eacute;rables comme les personnes d&eacute;tenues ou les publics migrants &laquo;&nbsp;b&eacute;n&eacute;ficient&nbsp;&raquo; du num&eacute;rique. On peut cependant se demander si les choses sont si simples. Apr&egrave;s une probl&eacute;matisation de la notion de vuln&eacute;rabilit&eacute;, une discussion prenant appui sur ces deux types de publics permettra de discuter &agrave; la fois du concept de vuln&eacute;rabilit&eacute; et des usages du num&eacute;rique. </span></span></span></span></span></span></p>