<p style="text-align:justify"><span style="font-size:12pt"><span style="line-height:150%"><span calibri="" style="font-family:"><span new="" roman="" style="font-family:" times=""><span style="color:black">Notre recherche s&rsquo;ancre dans une perspective interactionnelle o&ugrave; la signification d&rsquo;un &eacute;change est co-construite par les sujets participants. N&eacute;anmoins, les m&eacute;dias ne disposent pas toujours de la r&eacute;action imm&eacute;diate de l&rsquo;interlocuteur, ils d&eacute;ploient d&egrave;s lors d&rsquo;&eacute;l&eacute;ments pour fa&ccedil;onner la mani&egrave;re dont leur produit sera re&ccedil;u et interpr&eacute;t&eacute;. </span></span><span new="" roman="" style="font-family:" times="">C&rsquo;est dans cet enjeu que na&icirc;t notre int&eacute;r&ecirc;t de recherche, la r&eacute;ussite de ce processus de fa&ccedil;onnement permettra d&egrave;s lors de garantir l&rsquo;existence du m&eacute;dia et la fid&eacute;lisation du public. La question sous-jacente qui peut &ecirc;tre pos&eacute;e est comment cette d&eacute;marche est r&eacute;alis&eacute;e alors que la radio ne dispose que de la dimension sonore pour atteindre l&rsquo;audience&nbsp;? </span></span></span></span></p>