<p>&laquo;&nbsp;Je me suis toujours beaucoup int&eacute;ress&eacute; &agrave; tout ce qui est de l&rsquo;ordre du soliloque, du monologue. Et j&rsquo;ai continu&eacute; tout le temps. Et je continue encore&nbsp;&raquo;, confiait Billetdoux en 1987. L&rsquo;article situe d&rsquo;abord cet attrait&nbsp;pour la forme du monologue dans l&rsquo;itin&eacute;raire de l&rsquo;auteur&nbsp;(cabarets,&nbsp;radio,&nbsp;th&eacute;&acirc;tre),&nbsp;avant de s&rsquo;int&eacute;resser&nbsp;aux textes &eacute;crits en 1968 et 1969 pour le th&eacute;&acirc;tre ou la radio et r&eacute;unis en 1996 chez Actes Sud ‒ Papiers dans le volume&nbsp;<em>Monologues&nbsp;</em>:&nbsp;<em>L&eacute;onore, Anatolie, Julie Mad&nbsp;</em>,&nbsp;<em>Bagage, Gnagna, Machin-tout-court, Pilaf</em><em>&nbsp;</em>et&nbsp;la pi&egrave;ce st&eacute;r&eacute;ophonique<em>&nbsp;Ai-je dit que j&rsquo;&eacute;tais bossu&nbsp;?</em></p>