<p style="text-align: justify;">Le pr&eacute;sent colloque tombe &agrave; point nomm&eacute;. La fiction radio manque cruellement aujourd&rsquo;hui d&rsquo;espaces pour r&eacute;fl&eacute;chir &agrave; sa pratique. Il y a peu nous avions encore la revue <em>Syntone</em> qui nous servait de chambre d&rsquo;&eacute;cho<em>,</em> c&rsquo;&eacute;tait un peu nos <em>Cahiers du Cin&eacute;ma</em> &agrave; nous. Nous n&rsquo;avons plus la revue <em>Syntone</em>, et nous nous sentons bien seuls. Des moments r&eacute;flexifs comme celui-ci sont d&rsquo;autant plus pr&eacute;cieux qu&rsquo;ils contribuent &agrave; faire &eacute;merger une prise de conscience de notre propre pratique, &agrave; faire na&icirc;tre une <em>culture</em>.</p>