<p>Partant du constat que Soupault, auteur d&rsquo;un essai sur Labiche, admirait en lui l&rsquo;auteur de com&eacute;dies de caract&egrave;re (le plus grand apr&egrave;s Moli&egrave;re&hellip;) plus que le vaudevilliste, l&rsquo;article interroge la r&eacute;f&eacute;rence explicite au vaudeville dans deux pi&egrave;ces radiodiffus&eacute;es de Soupault, <em>La Fille qui faisait des miracles</em>, &laquo;&nbsp;vaudeville en quatre actes et un prologue&nbsp;&raquo; (1951) et <em>La Maison du Bon repos</em> (1976), &laquo;&nbsp;tragi-vaudeville en cinq actes et un prologue&nbsp;&raquo;. L&rsquo;examen de la s&eacute;rie <em>Le Th&eacute;&acirc;tre o&ugrave; l&rsquo;on s&rsquo;amuse</em> produite par Soupault et Chouquet de 1953 &agrave; 1956 et des &eacute;missions du po&egrave;te sur Labiche d&rsquo;une part, du choix du m&eacute;dium radiophonique pour la diffusion de ces deux pi&egrave;ces d&rsquo;autre part, encadre cette analyse.</p>