<p>Rationalisme, fonctionnalisme, formalisme. La musicalit&eacute; de cet accord parfait se rappelle souvent &agrave; nous comme l&rsquo;une des symphonies majeures du langage architectural du vingti&egrave;me si&egrave;cle. &Eacute;tiquet&eacute; comme l&rsquo;un des chefs d&rsquo;orchestre de la nouvelle esth&eacute;tique industrielle apparue dans l&rsquo;entre-deux-guerres, l&rsquo;architecte de La Chaux-de-Fonds, Le Corbusier, fut in&eacute;vitablement associ&eacute; &agrave; ces notions comme &agrave; de nombreux autres &laquo;&nbsp;ismes&nbsp;&raquo;. Apr&egrave;s-guerre, la critique de Le Corbusier contesta la formule de cette triade. Elle ne fit cependant que perp&eacute;tuer une attention trop soutenue &agrave; ces notions, au d&eacute;triment d&rsquo;autres. De plus elle &eacute;clipsa le tissu complexe des associations verbales, des relations et de la circulation d&rsquo;id&eacute;es &minus; entendons, au-del&agrave; du monde de l&rsquo;architecture &minus; dans lequel Le Corbusier &eacute;tait immerg&eacute;.</p>