<p>R&eacute;sum&eacute;</p> <p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-family:Calibri,sans-serif"><span style="font-size:12.0pt"><span style="font-family:&quot;Times New Roman&quot;,&quot;serif&quot;">Dans le rituel communicatif de la classe traditionnelle, l&rsquo;attitude de l&rsquo;apprenant vis-&agrave;-vis son objet d&rsquo;apprentissage se limitait au climat d&rsquo;&eacute;coute pour saisir le contenu &agrave; lui transmis par le d&eacute;tenteur du savoir, le ma&icirc;tre. Mais depuis que le concept de <em>m&eacute;tier d&rsquo;&eacute;l&egrave;ve </em>&nbsp;a fait de l&rsquo;apprentissage une habilet&eacute; ou <em>learning skills</em>, il est de plus en plus question pour l&rsquo;apprenant de d&eacute;ployer des strat&eacute;gies individuelles d&rsquo;acquisition du savoir. Il lui faut un savoir-faire pour savoir faire. Cet article se fixe pour objectif de pr&eacute;senter une observation critique des activit&eacute;s de conceptualisation d&rsquo;apprenants pour atteindre l&rsquo;objectif de ma&icirc;triser la cat&eacute;gorie grammaticale du genre des substantifs fran&ccedil;ais.</span></span></span></span></p>