<h2>R&eacute;sum&eacute;</h2> <p style="margin-left:0cm; margin-right:0cm; text-align:justify"><span style="font-size:11pt"><span style="font-size:12.0pt">Dans le secteur LANSAD, les heures de contact avec les &eacute;tudiant&middot;e&middot;s sont faibles. Il est ainsi difficile de conna&icirc;tre leurs d&eacute;/motivations pour les langues. Pourtant, l&rsquo;ouverture vers une autre communaut&eacute; linguistique, la motivation et le dispositif d&rsquo;apprentissage sont des facteurs cl&eacute;s. Ici, nous nous appuyons sur un corpus de 200 &eacute;crits d&rsquo;&eacute;tudiant&middot;e&middot;s de L3 et M1 en maths et informatique faisant le bilan de leur ann&eacute;e d&rsquo;anglais et permettant ainsi d&rsquo;entrevoir leurs attentes, d&eacute;sirs, frustrations, motivations, plaisirs dans l&rsquo;apprentissage de cette langue ainsi que leur rapport au savoir. La question que nous posons est donc la suivante : quelle est vraiment l&rsquo;attitude des &eacute;tudiants en Lansad vis-&agrave;-vis de cette langue obligatoire?<br /> On cherchera &agrave; rep&eacute;rer, parmi les d&eacute;clarations convenues sur l&rsquo;utilit&eacute; de l&rsquo;anglais comme langue internationale ou pour la vie professionnelle, une parole plus authentique sur les d&eacute;sirs profonds, ou le manque de d&eacute;sirs, dans l&rsquo;apprentissage et de trouver des points communs au sujet des repr&eacute;sentations sur les langues &eacute;trang&egrave;res. </span></span></p> <p>Laura HARTWELL, Nicole D<span style="font-size:12.0pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">&Eacute;</span></span>CUR<span style="font-size:12.0pt"><span new="" roman="" style="font-family:" times="">&Eacute;</span></span><br /> Universit&eacute; Toulouse 1 Capitole</p>