<p>Si, d&rsquo;une mani&egrave;re g&eacute;n&eacute;rale, on consid&egrave;re l&rsquo;utopie comme &laquo;&nbsp;un lieu fictif, cr&eacute;&eacute; par un auteur ou un groupe de personnes, dans lequel il est possible d&rsquo;imaginer une soci&eacute;t&eacute; id&eacute;ale, et de d&eacute;noncer par-l&agrave; les travers de son temps&nbsp;&raquo;, le mouvement transhumaniste s&rsquo;y assimile alors parfaitement. Les utopistes du posthumain voient ainsi dans la technique un moyen de rompre directement avec le d&eacute;terminisme qui englobe depuis toujours l&rsquo;humanit&eacute; et emp&ecirc;che sa progression.</p>