<p><span style="font-size:12pt"><span style="line-height:120%"><span calibri="" style="font-family:"><span style="line-height:120%">Ce num&eacute;ro 4 aura pris du temps &agrave; se construire. Une des raisons est li&eacute;e aux exp&eacute;rimentations exponentielles sur le sujet d&rsquo;acc&egrave;s &agrave; l&rsquo;alimentation. D&rsquo;un c&ocirc;t&eacute; nous avions de jeunes chercheurs et chercheuses de plus en plus int&eacute;r&eacute;ss&eacute;Es par le sujet mais compl&egrave;tement pris par les obligations li&eacute;es &agrave; leurs statuts et institutions de recherche, de l&rsquo;autre, une soci&eacute;t&eacute; civile engag&eacute;e dans une multitude d&rsquo;initiatives plus ou moins li&eacute;es &agrave; la pr&eacute;carit&eacute; alimentaire. Trois publications ayant trait &agrave; la place du travail social sont d&eacute;j&agrave; parues (Forum n&deg;153 et Le Sociographe n&deg;62 en 2018, Vie Sociale n&deg;36 en 2021) et interrogent &agrave; partir de la pr&eacute;carit&eacute; alimentaire.</span></span></span></span></p>